OUANAMINTHE – Le Groupe d’Appui aux Rapatriés et Réfugiés (GARR) exprime, à l’occasion de la journée internationale de la lutte contre la violence faite aux femmes, ses préoccupations par rapport aux actes de violence dont sont, souvent, victimes des filles et des femmes notamment sur les points frontaliers avec la République Dominicaine.
Au cours des trois premiers mois de l’année 2019, le GARR informe avoir enregistré 27 cas de viols sur plusieurs points frontaliers haitïano-dominicains comme : Ouanaminthe, Anse-à-Pitres, Belladères, Lascahobas entre autres.
Le GARR déplore le fait que les victimes soient laissées pour compte.
« Aucune prise en charge n’a été organisée par les autorités après ces actes d’agressions », a déploré la responsable de la section communication et plaidoyer du GARR, Geralda Saint Ville.
Pailleurs, le GARR continue d’exhorter les autorités étatiques à renforcer le système judicaire en vue de mettre les agresseurs hors d’état de nuire.
Source/Haiti 24
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