Ouanaminthe – Le doyen du tribunal de première instance de Fort-Liberté, Garry Paul Angrand, et le commissaire du gouvernement près le tribunal civil, Hérode Bien-Aîmé, ont procédé, le lundi 29 février 2016, à la libération, « pour raisons humanitaires », de 55 prisonniers à la prison civile de Fort-Liberté (chef-lieu du département du Nord-Est).

Ces prisonniers, dont certains sont infectés et affectés par le Vih/Sida et la tuberculose, ont été sélectionnés, puis libérés en raison de la gravité de leur situation dégradante de détention.

Il restait à ces détenus un ou deux mois pour purger totalement leur peine, fait savoir Bien-Aîmé, indiquant combien « le greffier de la prison a travaillé, durant une semaine, pour porter à sélectionner les cas les plus inquiétants ».

LIRE LA SUITE SUR ALTERPRESSE.COM

commissariat

source: alterpresse.com