Le coordonnateur du bureau national de défense des droits humains Jaccéus Joseph, s’est dit satisfait et soulagé d’avoir appris que la MINUSTAH a reconnu sa responsabilité quant à l’apparition de l’épidémie du choléra en Haïti.

Les casques bleues à plusieurs reprises ont ignoré et ont présenté leur immunité envers ce dossier, a martelé le coordonnateur. Jusqu’à présent, l’État Haitien ne se montre pas responsable dans ce dossier et aussi pour la récupération de ce fonds de dédommagement.

Le bureau national de défense des droits humains a écrit une pétition à la présidence le 14 Août et n’a reçu aucune réponse. Tous les victimes du choléra doivent être dédommagés aussi que l’État Haïtien.

Ne représente t-il pas un danger ce fonds, et comment va t-on procéder à sa répartition?
Le bureau a demandé un frais de dédommagement:
50.000$ pour le victime traité et frais hospitaliers.
100.000$ pour le victime mort et frais hospitaliers.
150.000$ pour le victime laissant des enfants de bas âge et une famille complète.
Pour l’État:
Construire des centres hospitaliers et assainissements.
Une analyse médicale sera faite pour chaque victime, qui a été attaquée par le virus.

“Nous avons des documents concernants des victimes, et des actes de notoriété pour ceux et celles qui n’ont pas eu la chance de se rendre à l’hôpital et qui n’ont pas un certificat médical du choléra”, a déclaré l’ancien conseiller.

Il faut mentionner que ce corps de la mission des nations unis n’ont pas seulement apporter le virus Cholerae, mais aussi ont violé des jeunes filles et garçons haïtiens. De plus, la plupart d’entre eux ont enfanté plusieurs de nos femmes haïtiennes et n’ont pas pris leurs responsabilités.

Jacceus Joseph

Alendra