PORT-AU-PRINCE – La Brigade de Surveillance des Aires Protégées (BSAP) nie toute implication de certains de ces membres dans les violences à Cannaan le week-end écoulé.
Le directeur de l’Agence Nationale des Aires Protégées (ANAP), M. Jeantel Joseph, dément toute implication de ses hommes dans ces violences. Il explique que l’équipe du BSAP n’est déployée que dans les 26 Aires protégées ou sur mandat express des autorités gouvernementales.
Il rappelle que les membres du BSAP n’avaient pas été déployés dans la zone de Canaan.
Dénonçant un acharnement contre la BSAP, M. Joseph déplore que des réseaux sociaux aient continué à critiquer le BSAP tandis que les auteurs du forfait se présentaient comme des révolutionnaires.
Le groupe, encadré par la législation, compte 1 200 membres. M. Joseph assure que les interventions sont réalisées sous la supervision de la Police Nationale.
La Brigade est placée sous l’autorité de l’ANAP, qui elle relève du ministère de l’environnement.
La Brigade avait été mise sur pied pour combler un vide créé après la sensibilisation des Forces Armées d’Haïti. Il s’agissait de trouver un bras armé pour protéger les parcs et autres sites importants pour l’environnement.
Source/Radio Métropole Haïti
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