PORT-AU-PRINCE – Les diverses organisations et les organes de bon état maintiennent leur position après la publication du 3 ème rapport Pétrocaribe.
Le conseiller du chef de l’état, Patrick Chrispin, ne décolère pas après la publication du 3 ème rapport sur la gestion des fonds Pétrocaribe.
De l’avis de M. Chrispin le rapport comprend des ” biais d’affirmation fondamentale. Il y a un aspect politique dans le rapport et ceci constitue une persécution politique”, a fait valoir M. Chrispin.
Il regrette que les conseillers de la Cour aient quitté le cadre normatif en citant le nom du président Moïse alors que les contrats en question concernaient une compagnie.
De leurs cotés les petrochalengers de Nou Pap Domi appellent à la reprise de la mobilisation populaire contre les anciens officiels et fonctionnaires épinglées dans le 3 ème rapport.
Nou pap Complice attire l’attention sur la nécessité de réaliser des pressions sur les autres institutions, ULCC et Ucref, chargées de la lutte contre la corruption.
Par ailleurs le président du Sénat, Pierre François Sildor, n’etait pas en mesure de fournir des informations sur le suivi du rapport. Il reviendra aux 10 sénateurs d’indiquer la voie à suivre, explique t-il.
Si le premier rapport avait été acheminé au commissaire du gouvernement près le tribunal de première instance de Port-au-Prince, le second est toujours dans les tiroirs du Sénat.
Source/Radio Métropole Haïti
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