L’avocat de Mr. Jean Rene Duperval, Me John E. Bergendahl a trouvé un certain nombre d’inexactitudes factuelles dans un article  dont quelques commentaires ont été repris dans ”Haiti: L’ex Président Aristide dans le collimateur de la justice américaine”. Ainsi, il désire mettre tout au clair et dans une lettre adressée à la Presse, dont nous avons obtenu une copie, il s’est exprimé de façon à permettre à tout en chacun de mieux comprendre les faits et exige une rétraction immédiate des informations erronées.

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…. Je suis le représentant légal de Mr. Jean Rene Duperval et je me permets de vous informer d’un certain de nombre d’inexactitudes factuelles dans votre article en date du 4 Janvier, 2015 en ce qui concerne Mr. Duperval.

1) Contrairement à ce que vous avez rapporté, Mr. Duperval n’a pas plaidé coupable aux accusation portées contre lui par le gouvernement des Etas-Unis. Plutot, Mr Duperval s’est porté devant le tribunal pour un procés et a ete reconnu coupable par un jury. Nous avons contesté la condamnation et la peine de Mr. Duperval par devant la Cour d’appel du 11eme Circuit. L’affaire a été pleinement débattue e soutenue et nous attendons une decision de cette Cour.

2) Mr. Duperval n’a jamais, ne coopère pas avec les responsables du gouvernement Haitien ou Americain soit dans toute anquête qu’ils ont ou mènent au sujet de Mr. Aristide, IDT et / ou Haiti Teleco…

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  Donc, Me John E. Bergendahl ne tolère pas du tout certains commentaires  envers son client comme par exemple:pour pouvoir bénéficier d’une réduction de peine, il s’est mis à table et est prêt à témoigner devant les tribunaux contre d’autres”.

Pour plus de détails concernant le cas de Me Duperval,  certaines informations se trouvent dans un article qui a été publié sur Fox News par Associated Press depuis mai 2012 ( http://www.foxnews.com/us/2012/05/21/ex-haiti-official-years-in-telecom-bribery-case/ et nous le présentons ci-dessous en son intégralité.

 

MIAMI –   Un ancien cadre supérieur de la société de télécommunications d’Etat d’Haïti a été condamné lundi à neuf ans dans une prison fédérale pour les infractions de blanchiment d’argent liés à près de 500.000 dollars en pots de vin reçues d’entreprises américaines.

US District juge Jose E. Martinez a imposé la peine sur 45 ans, Jean René Duperval, qui était directeur des relations internationales pendant huit mois en 2003 et 2004 au Télécommunications D’Haïti, mieux connu comme Haïti Teleco.

Duperval a été reconnu coupable d’infractions de blanchiment d’argent par un jury américain en Mars, l’un des huit personnes condamnées à ce jour dans un cas massif apporté par le ministère de la Justice dans le cadre du Foreign Corrupt Practices Act. Un ancien dirigeant américain des télécommunications, Joel Esquenazi, a reçu une peine de 15 ans, la plus longue jamais imposée en vertu de cette loi anti-corruption, les procureurs fédéraux ont dit.

US procureur adjoint James Koukios a déclaré que les crimes de Duperval étaient remarquable parce qu’il venait d’une famille haïtienne de premier plan avec un accès à la richesse et de l’avantage. Il a été nommé à la position Haïti Teleco en 2003 par l’ancien président Jean-Bertrand Aristide.

“Ce est une personne qui ne avait pas de voler. Il ne avait pas à prendre cet argent. Mais il l’a fait», a déclaré Koukios. «Ce était de l’argent pour le peuple d’Haïti. Ce ne était pas pour M. Duperval.”

Preuves essai a montré les paiements étaient destinés à donner certaines sociétés de télécommunications des États-Unis des taux favorables et des contrats avec Haïti Teleco. Un des prédécesseurs de Duperval comme Haïti Teleco directeur des relations internationales, Robert Antoine, a été condamné à quatre ans de prison après avoir plaidé coupable et admis qu’il a reçu plus de 1 million de dollars en pots de vin similaires.

Témoignant pour sa défense, a insisté Duperval les paiements par le biais de sociétés écrans qu’il contrôlait de télécommunications Cinergy basés à Miami et Terra télécommunications ne étaient pas des pots de vin, mais seulement “des témoignages de reconnaissance» pour bien faire son travail. Martinez a appelé ce témoignage “ridicule” avant de trouver Duperval avait commis un parjure sur la barre des témoins, des motifs pour ajouter à sa peine.

Duperval, qui a utilisé l’argent de la corruption pour les dépenses personnelles telles que les paiements hypothécaires et les coûts de l’éducation des enfants, a aussi été ordonné de renoncer à plus de $ 433 000 actifs. Il ne parlait pas à l’audience de lundi, mais sa femme, Ingrid Duperval, demanda grâce. Duperval, a trois enfants et une maison à Miramar, en Floride.

“Il est le meilleur père, le meilleur fils, le meilleur mari, une femme peut rêver d’avoir,” dit-elle.

Le cas haïtien de la corruption est loin d’être terminée et a récemment été ombragée par la violence.

Un ancien directeur général Haïti Teleco, Patrick Joseph, a plaidé coupable en Février à une accusation de complot de blanchiment d’argent et a accepté de témoigner sur le partage des paiements de corruption avec d’autres hauts fonctionnaires haïtiens. L’ancien président, Aristide, n’a pas été inculpé dans l’affaire.

Peu de temps après le mot sur le deal plaidoyer de Joseph, des inconnus armés à moto ont tiré mortellement son père, Venel Joseph, au volant de sa voiture dans une rue de Port-au-Prince. Ce meurtre est toujours pas résolu.

Joseph était administrateur de la Banque centrale d’Haïti durant le second mandat d’Aristide de 2001 à 2004, quand il a été forcé hors du bureau. Aristide a vécu ensuite en exil en Afrique jusqu’à son retour en 2011 en Haïti…

 

Source/Fox News

Traduction/Google

Photo/Archives

PDF/Me John E. Bergendahl

www.anmwe.com

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